Une femme affirme qu'elle ne savait pas qu'elle avait une liaison avec le mari de sa meilleure amie

Une mannequin australienne a admis avoir fréquenté par inadvertance le mari d'une ses très bonnes amies, rapporte le Journal de Québec.

C'est dimanche dernier que la mannequin australienne Honey Brooks a expliqué sur Instagram qu'elle a vécu une mésaventure très particulière en raison de ses activités sur On**F**s.

Comme la mannequin remporte énormément de succès sur OnlyFans, Honeya confié qu'elle recevait très fréquemment des messages de ses abonnés: « Je me suis réveillée avec tous ces messages et ce truc est juste insensé. Je n'ai aucune idée de qui ils sont. Ils peuvent s'inscrire sous n'importe quel nom. Nous n'avons pas accès aux adresses électroniques ni à quoi que ce soit de ce genre. »

Il y a quelques mois, un abonné de Honey lui a fait une demande très spéciale puisqu'il souhaitait vivre une expérience plus personnalisée.

Honey a précisé: « Je propose une "expérience de petite amie", mais c'est assez cher. »

Le forfait en question comprend une messagerie prioritaire et l'accès à des « choses amusantes tous les soirs ».

Le client qui avait contacté Honey a donc bénéficié de cette expérience pendant trois mois et tout au long de cette expérience, ils ont échangé des messages tous les jours.

Cette correspondance a soudainement pris fun du jour au lendemain: « Il a disparu de la surface de la Terre. Je ne savais pas s'il était mort. »

C'est dimanche matin que Honey Brooks a compris pourquoi l'homme était mystérieusement disparu: « Il a cessé de m'envoyer des messages parce que sa femme l'a découvert. Sa femme est l'une de mes meilleures amies! »

La mannequin ne cache pas que ce revirement de situation l'a particulièrement bouleversée. De plus, elle connaissait très bien l'homme en question puisqu'elle avait même pris part à des sorties de groupe avec lui.

Enfin, Honey n'a pas perdu son amie dans cette aventure, car cette dernière lui a assuré que l’infidélité de son conjoint n’était pas de sa faute.