Ayoye
Une jeune femme obligée de changer de prénom à cause de la mise à jour de l'iPhone
Courtoisie  

Une jeune femme obligée de changer de prénom à cause de la mise à jour de l'iPhone

Son prénom fait capoter les iPhone et elle doit le changer.

Ayoye

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Une jeune femme a été obligée de changer de prénom à cause de la mise à jour de l'iPhone, rapporte Le Parisien.

Publiée d'abord dans les colonnes de The Sun, l'histoire de Siri Price, une Écossaise âgée de 26 ans, a le mérite de sortir de l'ordinaire...

La jeune femme vit un véritable calvaire depuis environ 3 semaines. Une période qui correspond à la publication d'une nouvelle mise à jour pour iPhone.

Cela ne vous a sans doute pas échappé, mais elle porte le même prénom que l'assistance vocale d'Apple.

Depuis la dernière mise à jour, les détenteurs d'iPhone n'ont plus besoin de dire « Hey Siri » pour entrer en contact avec l'assistance vocale, ils ont simplement besoin de dire « Siri ».

Ainsi, à chaque fois que quelqu'un l'appelle par son prénom, l'assistance vocale se déclenche.

« Maintenant, les gens ne peuvent même plus prononcer mon prénom », a déploré Siri Price. 

« Mon petit ami a installé la nouvelle mise à jour l’autre jour et a remarqué que ça déclenchait son téléphone à chaque fois qu’il me parlait », a-t-elle expliqué.

« Je suis complètement furieuse (…) Je suis sûr qu’Apple aurait pu choisir autre chose à la place. Il y a beaucoup de gens qui s’appellent Siri et leur vie est devenue insupportable à cause de cela », a-t-elle affirmé.

Le Parisien précise que Siri signifie « belle femme qui vous mène à la victoire » en vieux norrois. D'après Wikipédia « le vieux norrois correspond aux premières attestations écrites d'une langue scandinave médiévale ».

Pour éviter que l'assistance vocale de leurs iPhones respectifs se déclenche à chaque interaction avec elle, les collègues de Siri ont décidé de l'appeler « Siz ».

 « Mes collègues ont dû s’asseoir et réfléchir à une alternative parce que les téléphones des gens n’arrêtaient pas de sonner dans la salle », raconte-t-elle.

Source: Le Parisien