La police envoie un message clair aux automobilistes qui roulent dans la voie de gauche sur l'autoroute
Ça ne peut pas être plus clair que ça !
Ayoye
Les conducteurs qui ont la mauvaise habitude de rouler lentement dans la voie de gauche sont maintenant dans la mire de la police ontarienne!
C'est jeudi que Kerry Schmidt, sergent à la Police provinciale de l'Ontario (OPP), a décidé de lancer un cri du coeur sur Twitter à l'attention des conducteurs ontariens.
Le sergent Schmidt a débuté son message en déclarant avoir remarqué que plusieurs véhicules semblaient s'être entassés, et ce, alors que la circulation semblait pourtant très fluide: «Je descendais l'autoroute 400 ce soir, le volume de trafic était relativement faible, il y avait une bonne circulation, et tout d'un coup, il y avait un ralentissement et un empilement de véhicules. [...] Je voyais un seul véhicule tout seul dans la voie la plus à gauche et ne bougeant pas. Même s'il y avait de nombreuses opportunités pour ces véhicules de se déplacer dans la voie du milieu ou la voie de droite pour permettre aux autres véhicules de passer par la gauche.»
Comme l'a rappelé M. Schmidt, de nombreux panneaux routiers informent les conducteurs de «garder la voie de gauche ouverte pour le dépassement», et pourtant, de nombreux conducteurs agissent de façon à provoquer la colère des autres automobilistes.
Le policier a poursuivi en précisant: «Lorsque les véhicules et les conducteurs ne sont pas conscients qu'ils font reculer et empiler les véhicules derrière eux, cela mène à de la frustration, cela peut mener à de la rage au volant et à de la confusion sur la route lorsqu'il y a des véhicules qui passent dans toutes les voies de l'autoroute.»
Bien qu'il ne soit pas illégal de dépasser des véhicules sur les trois autres voies de l'autoroute, le policier a toutefois rappelé qu'il est «courtois» pour les automobilistes de se déplacer vers la droite lorsqu'ils sont dépassés.
Enfin, le policier a conclu son message en invitant les conducteurs à sensibiliser les autres automobilistes à l'importance de bien «partager la route», au lieu de céder à la colère.